"Vous en avez marre du quotidien train-train des musées jugés trop "classiques" ? Vous ne pouvez plus voir en peinture tous ces artistes trop scolaires ou bien trop sages ? Ayant peur de la faute, du raté ?
Alors venez nombreux au Palais de Tokyo ! Là où seront exposés, non pas des toiles, mais des carnets de recherche (nettement plus vivants)." Le Palais de Tokyo, le terrain de jeu des artistes.
Oh Mon Dieu, je parle comme dans un Télé Vitrine ! (Hum... Merci Constance.)
Il n'y a pas que des carnets de recherches imprimés sur les murs, il y a aussi beaucoup de vidéos et des photos et des shorts dans des cubes de Plexiglas, et des hauts-parleurs diffusant ce son de clapotis de la langue contre la glotte au fond de la gorge (c.f. The Kingdom of Glottis) que l'on a d'ailleurs irrésistiblement envie d'imiter ensuite.
Mieux que ça, lorsque je dis que c'est un véritable terrain de jeu, je ne plaisante pas, Fabrice Hyber nous propose en plus de ses Matières Premières* un véritable terrain de jeu dans lequel les gradins accueillant le public se trouverait au centre du terrain et où le ballon serait carré, le POF n°65 (à traduire Prototype d'Objet en Fonctionnement)
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C'est ça le Palais de Tokyo !
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